Po
Pour mon anniversaire j'ai reçu ce joli texte qui m'a beaucoup touchée, merci Martine (le 17 decembre)
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Pour mon anniversaire j'ai reçu ce joli texte qui m'a beaucoup touchée, merci Martine (le 17 decembre)
Souviens-toi, nous marchions
En silence sur l’herbe menue,
Vert pré, nous chantions
Le cœur gai et l’âme nue
Tout était beau, tout était rêve,
Aucun bruit sous nos pas.
Nous sourions sans trêve
A ces regards d’autrefois
Souviens-t-en de nos silences
Aux portes des sourires fanés,
Tu fus ma joie, je fus violences
Furtives de mon passé.
Que de regrets, que de chagrin
Le temps a fui, mon cœur est froid
Pourrais-je encore te donner la main
Comme jadis je le fis pour toi ?
JP 14/02/2011
un texte de mon ami Clovis 67
Au dernier jour
Tu lui diras ces mots
Qu’on ne dit qu’une seule fois,
Quand on parle au sable,
Quand la nuit grignote
Le soleil devant la porte.
Tu lui diras que tu l’aimais
D’une profonde chaleur
Sur cette terre
Aux soirs de noël,
Devant la solitude,
Devant les étoiles.
Tu lui diras
Que les larmes
Qui tombent sur toi
Sont remplies de tristesse,
Sont remplis d’amour,
Sont remplis de souffrance.
Tu lui diras que son regard
Etait, lui aussi
Rempli d’amour,
Rempli de fidélité.
Tu lui diras :
Ton soleil est éteint.
Tu as été ma lumière,
Tu as été ma joie.
(Pierre dit Clovis67)
Va, poursuis ton chemin,
Le ruisseau suit son cours
Vers mille lendemains
De jardins sans contours.
Les mots effarouchés
De nos rêves infinis
Ont porté nos secrets
Sur l’aile de la nuit.
Rappelle-toi, cet air
Léger que tu chantais,
Métamorphoses d’hier
De ces tendres pensées
Je portais mon regard
Vers le ciel étoilé,
Voyage au hasard
De l’amour partagé…
Le silence a fleuri
Nos soupirs du passé.
O douceur infinie !
Mon cœur a su t’aimer.
Alors, quand la bougie
Aura éteint son feu
Rappelle-toi nos vies,
Nous étions si heureux…
(texte de Clovis 67)
Pour un sourire à tes yeux
Je donnerais ma vie
Celle qui n’a fleuri
Que dans mes rêves bleus
J’ai trop voyagé ici bas
Le vent fut trop froid
J’aimerais qu’il se couche
Et apaise mes tourments
Mes douleurs et mes peines
Qui crient dans ce temps
Que je ne supporte plus
Qu’à travers ma solitude.
Je panse mes plaies
Par la poésie et le silence
Qui font vibrer mes paroles
Cachées dans un corps
Haï qu’on rejette
Aux souvenirs d’enfance
Maudits par le regard
Des autres, violence née
Par le manque d’amour,
Haine d’un père absent
Autour de l’indifférence ….
Mais écoute-moi,
Je n’ai existé….
Que pour toi
Ne dis rien ! Je suis fatigué
De traîner ce corps
J’aimerais me reposer,
J’aimerais partir, encore
Emmener mes souvenirs
Si tu pouvais sourire.
Ce texte est la propriété de clovis67 Tous droits réservés ©
l'auteur a voulu expliqué son texte je vous donne ces mots
Il m’arrive parfois de regarder sur ma vie passée et d’en ressentir beaucoup de regrets pour n’avoir pas su exprimer tout mon amour et tout ce que je dois à celle vit à mes côtés. Je sais que chaque femme attend des paroles d’amour de la bouche de celui qu’elle aime, mais il m’arrive trop souvent de garder le silence et ne me rends compte que lorsque le sourire manque à ses lèvres… alors je le regrette…
Osmose...
A la nuit j’ai volé
Cette sérénité
Nimbée de nostalgie
Lorsque s’endort la vie.
La lune nonchalante
Statique et reposante
A posé sa langueur
Sur le bord de mon cœur.
Du soleil en fusion
Je suis feu et passion
Dévorant de mes flammes
Les envies de mon âme.
J’ai l’humeur arc en ciel
De pluie ou de soleil
Si je suis en amour
Ou si j’ai le cœur lourd.
Du vent j’ai la douceur
Mais aussi la fureur
Soufflant sur mes pensées
Ce goût de liberté.
Je suis l’enfant d’Avril
Se découvrant d’un fil
Pour tisser un cocon
A la neuve saison.
Alphonse BLAISE.
Sur les vagues d'écume
Dans un manteau de brume
La lune au firmament
Flotte nonchalamment.
Elle est auréolée
D'une pâle clarté
Qui pose sa douceur
Sur l'aura de mon cœur.
La rosée de la nuit
Se diffuse sans bruit,
Le parfum de la rose
Devient apothéose.
La Vénus de pierre
S'habille de lumière
Un souffle de magie
Et l'ombre devient vie.
Le vol d'un papillon,
Des pas sur le gazon,
Un pétale est tombé,
Un elfe l'a frôlé.
Le Mai joli frissonne…
Mon âme s'abandonne
En se laissant mourir
Au baiser du Zéphyr
Alphonse BLAISE.
* Photo personnelle.
Ce texte est la propriété de Alphonse BLAISE. Tous droits réservés ©
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n° 00042597
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